TOP 14 (17e journée)

A PERPIGNAN : Si près… si loin, pour un score sévère : 20 – 6.

Si près après l’ouverture du score et une longue domination tout au long de la première période et ce jusqu’à la dernière minute de celle ci tout semblait aller bien chez les bleus et blancs, un essai à qualifier de pitoyable serait offert à leurs adversaires. En effet, sur une tentative de pénalité des perpignanais, leur ailier, qui, lui, n’avait pas suivi simplement des yeux le ballon aplatissait en en-but. Nos joueurs n’ont-ils jamais appris à se placer sur le terrain dans ces occasions là ? Et leurs entraineurs, sachant leur manque évident de réaction ne pouvaient-ils intervenir ? L’ailier usapiste, lui, constatait après la rencontre n’avoir pas compris le non placement des joueurs bayonnais !  Un comble !
A 10 – 3 à la pause tout ne semblait pas perdu… si nous marquions les premiers. Il n’en fut rien et le score bondirait à 20 – 3.  Sous un froid de glace – vent en rafales, face à notre équipe -, malgré quelques bonnes phases de jeu et une forte domination en fin de rencontre les bayonnais ne marqueraient qu’une seule fois laissant en chemin le bonus défensif. Au vu du déroulement de la rencontre, énorme déception pour les joueurs… et leurs supporters.
Ah, oui, encore une fois, combien faudra t-il attendre de rencontres, voire d’années, pour voir un joueur mis en position de tenter un coup de pied tombé lors des phases de longue domination ?
Et là encore s’il n’y a pas de tête sur le terrain, il semblerait également qu’il n’y en ait pas en bord de touche… où les entraineurs ne réalisent pas que l’équipe est tout au bord du gouffre malgré son désir de jouer. Ce qui est encore plus grave !

Barretines Milesker !
Merci aux Barretines, association de supporters de l’USA.
Pour les cinquante de la peña Baiona qui assistèrent à la rencontre, le week-end restera inoubliable – rencontre exceptée !- tant l’accueil reçu de leurs homologues fut exceptionnel deux journées durant.
Voici, à leur adresse, à la vôtre, ces quelques lignes.

Merci les Barretines, Catalans milesker !

Centre ville oublié , quand la porte s’ouvrit
sur grand’salle en habit de soirée
les lasers mis en scène fêtant notre arrivée
et les tables installées cadrant piste de danse
l’on savait la soirée ouverte à l’amitié.

L’on écouta des chants venus de Catalogne
L’on reprit au refrain paroles d’ans passés
Et mangeâmes et bûmes limite de raison.
L’on dansa jusque tard. Nous partîmes sans voix.
Merci les Barretines, Catalans milesker !

Veille et matin du dimanche nous eûmes quelques courtes heures pour visiter la ville, Cathédrale et Cloître Cimetière Saint-Jean, la Casa Xanxo, le Couvent des Minimes…
La fête se terminerait en terres de vignobles, en un castel plusieurs fois centenaire, celui de Château Rombeau à Rivesaltes. Outre la magnificence des lieux et le repas servi, ces heures là, avec les cadeaux échangés entre présidents seront à marquer d’une pierre orange et rouge, et par celle de « l’Esteleda ». Bien entendu !
Barretines Grand merci !